C'est Noël.
Chiez moi à la gueule vos incompréhensions, perverties dans vos esprits en une raisonnable exégèse plus dénuée de sens encore que cette matière fécale qui occulte maintenant mes traits. Oui, allez-y, enterrez à jamais les pérégrinations d’un être sombré dans la création de ses propres marques de désespoir. Pouvant apprécier le courage de vivre, de mourir, je pleure des larmes qui encore humides représentent la haine que j’ai envers vous tous. Mauvais dans le fond et dans la forme, vous croyez comprendre ce que je ressens. Mieux encore, vous êtes persuadés d’en tenir les causes. Quelle faiblesse. Compassion, pitié ou mépris, peu importe. Cela ne changera rien. Une souffrance due à quelques croisements d’existences, allez vous faire foutre, et vos fantasques fantasmes avec.