9 octobre 2009
03/10/09
Je courbe l’échine. J’assume, je comprends. Tout est ma faute. Mais cela n’est rien. Un rien. Un rien face à votre empire de connerie. Belle citadelle, aux remparts d’arguments risibles ; voilà, je vous ris au nez. C’est ardu, tant vous m’exaspérez. Mais...